*Le récit traite dans sa plus grande partie de l'existence de Nérévar, contant ses exploits et ses prouesses tout comme sa fin tragique, les pages usée portent les marques du temps, certains chapitres son incomplets. En vous attardant sur sa lutte face au Dwemers, vous remarquez qu'une poignée de vers retrace la glorification donnée à celui-ci lorsqu'il mit un terme à cette échafaudage de meurtres et de folie*
En ces terres de cendre, Au-delà de vos frontières, Par-delà les monts rocheux et les brumes de l'éther, Se dessinait soudain, une terre de feu, Qui dans un cri, en vain, Suppliait l'aide des Dieux.
Martelait l'enclume, fracassait l'acier, Sous les crocs assoiffés, le sang en était versé, Orphelins de la raisons, égide de l'abomination, Aveuglés par leurs mirages, il s'en remettaient au carnage,
De la guerre perdurant, des meurtres grandissants, Nul n'espérait, que des cieux apparaîtrait, De son armure flamboyante, le voilà se dessiner, Unificateur des peuples, par ses paroles d'acier.
(Refrain)
Nérévar! Nérévar! Au surnom d'Astre-Lune, Des vertes plaines au blanches dunes, L'échos de ton nom, s'en va au-delà des Lunes.
Nérévar! Nérévar! Grand Khan des anciens Chimers, Qui contre convoitises et rancœur, Révéla la folie Dwemer.
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Donnant à ses contrées un nouveau souffle d'espoir, Il entre dans les mémoires, comme digne héros de son histoire, Contrant les envies, défiant la calomnie, Il renversa ses ennemis, tel les dieux avant lui.
Et s'élevant au rang des Rois, sa faute fut celle de l'émoi, croyant au dévouement des siens, il en sera condamné de leurs mains, Aveuglés par la cupidité, rongés par la férocité, ils tuèrent sans pitié, l'Homme qui de l'ombre les avaient sauvé.
(Refrain)
Voilà que dans l'horreur, il va s'en replongé, ce peuple n'aura qu'attisé, Le courroux des Dieux acharnés.
Sous le flamboyant du Soleil et les Lunes clairsemée, Nérévar, S'en était allé.
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