Ju'rohn.
Je me permet un court préambule en
HRP, si vous n'y voyez pas d'inconvénients. J'apprécie de pouvoir me présenter et introduire mes intentions à l'égard de votre petit havre de paix si attirant.
A ce propos, recevez mes compliments pour cette présentation visuelle et textuelle de qualité de votre confrérie.
J'aimerai simplement préciser que je suis issue de la "guilde" nommée Tel Uvaris que certains d'entre vous connaissent peut-être. Je suis donc une ancienne collègue de Mae que vous connaissez bien.
La seconde précision concerne ma présence, sous réserve que je sois acceptée dans votre petit club évidemment. Concrètement, mes études me prennent du temps. C'est pourquoi je ne serai probablement pas très présente IG, et que je privilégierai le RP sur le forum.
Quoi qu'il en soit de ma présence, je considère que faire partie d'une guilde est un engagement envers celle-ci et ses membres, et je ferai de mon mieux pour être active.
Merci d'avance pour votre intérêt envers mon humble candidature.
Sachez que je suis ouverte à toutes appréciations concernant mes écrits, et j'espère que mon BG vous plaira.
Je vous souhaite une agréable lecture.*bow*
2. Activités de confrérie
Forum : régulièrement
Participation aux canaux de discussion : parfois (l'usage de RP constant sur tout les canaux de discussion ne m'est guère familier, mais je suis parfaitement sociable... je crois.)
Quêtes de groupe de confrérie : rarement
Quêtes de groupe de nos alliés : rarement
Événements RP confrérie : régulièrement
Événements RP de nos alliés : parfois
Instances de confrérie : parfois
Instances de nos alliés : parfois
Demande/offre d'artisanat : parfois
3. Quel est votre connaissance de l'univers de la saga des Elder Scrolls ?
Je n'ai eu l'occasion de jouer qu'à Skyrim, par lequel j'ai découvert la saga des Elder Scrolls et cet univers qui me plait tant il y a de cela un an et demi je dirai. Je pense avoir une connaissance moyenne du lore que je n'ai cessé d'explorer depuis ce jour béni où mes yeux se posèrent en une vue à la première personne sur le ciel dégagé de Bordeciel, peinturluré d'aurores boréales féériques, la douce mélodie des hurlements de trolls à l'agonie me bercent chaque jour depuis cette savoureuse découverte... je m'égare.
Ma précédente guilde était également à forte dominance Dunmer, c'est pourquoi j'ai eu l'occasion de me renseigner plus avant sur ce peuple, qui est rapidement devenu mon préféré.
Cependant je dirai que je ne suis pas douée lorsqu'il s'agit de faits historiques et de dates... Tout est si confus dans mon esprit.
4. J'ai pris connaissance de la charte de la confrérie :
Très certainement, oui.
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Background
Saruna Dreloth avançait à grand peine sur le chemin cendreux qui menait à la grande demeure d'Arador Dayn.
C'est au terme d'un long et éprouvant voyage qu'elle parvint enfin à apercevoir le manoir qui se dressait au loin. Priant pour ne pas avoir fait fausse route, elle pressa l'imposant cheval noir au dos bien chargé qui la suivait en traînant les pieds. La route pentue était si pénible que la dunmer se remémora les désagréables événements qui l'avait conduite ici, et commença à douter de ses propres choix.
Était-ce réellement une bonne idée que d'avoir quitter le confort de la maison familiale à Tel Muthada ? Elle avait le privilège d'être née dans une famille où l'argent et les biens ne manquait pas, et son père avait toujours veillé à ce qu'elle ai accès aux plus fins objets et à une éducation de qualité. Bien que sa famille fut chassée du continent il y a de cela plusieurs générations, et qu'elle perdit tôt sa mère et sa soeur dans la maladie, ces lourds souvenirs de famille ne la hantait plus désormais. Âgée de 34 ans, la jeune dunmer avait depuis longtemps tourner la page et n'essayait plus de comprendre ou de justifier certaines fatalités que la vie, les Dieux, ou le destin pouvaient imposer aux mortels.
Perdue dans ses réflexions, elle faillit trébucher sur une racine dépassant du sol, ce qui lui remit rapidement les idées en place. Que venait-elle faire ici ?
Saruna Dreloth, sous ses airs de jeune femme calme et discrète, cherche avant tout à satisfaire ses ambitions de connaissance. Lorsqu'elle décida de quitter Tel Muthada sans l'accord de son père pour s'adonner à sa passion qu'est la magie, elle savait qu'elle avait encore beaucoup à apprendre. Sans parler de son affection pour le maniement des deux lames... Elle n'osait imaginer la figure de son père si il l'avait surprise en plein exercice. Etudier, et s'entraîner en cachette ne suffisait pas à combler le désir de savoir de la jeune dunmer : elle avait besoin d'un maître, ou tout du moins, d'un cadre idéal et propice à l'étude. Et quand bien même elle parvint à se retrouver sur cette route aujourd'hui, Arador Dayn ne fut pas sa première destination.
Lorsqu'elle quitta sa demeure, c'est vers les Telvannis qu'elle se tourna en premier. Grâce aux finances importantes "empruntées" à son riche père, elle réussit à entrer aux services d'un puissant Seigneur-Mage qui accepta de lui enseigner certaines choses concernant la magie. Cette collaboration perdura quelques mois, et Saruna savoura chacune des perles de connaissance que son maître lui permettait d'entrevoir. Pourtant, la situation dégénéra, et la dunmer se vit contrainte de quitter les services du Seigneur-Mage. L'heureux hasard fit qu'elle n'avait pas encore été officiellement acceptée en tant que membre servant de la famille Telvanni. Bien entendu son départ sonnait le glas pour de nombreuses opportunités en terme de savoir et de pouvoir... Mais Saruna avait son propre ordre des priorités. N'appréciant guère de repenser aux détails de ce fâcheux événement, elle prit une profonde inspiration et tâcha de poursuivre le cours de ses pensées.
Elle était sur le point de se concentrer sur les véritables raisons qui ont précipité son désir de connaissance et fait naître ses nouvelles ambitions, lorsqu'elle s'aperçu n'être plus qu'à quelques mètres de l'imposante porte d'entrée d'Arador Dayn.
Elle prit un instant pour soigner sa tenue. Elle avait prit la peine d'enfiler un de ses plus beaux atours dans le but de faire la meilleure impression possible au maître des lieux.
L'imminence de sa rencontre avec les résidents la rendit subitement nerveuse. Elle respira profondément, tâcha de paraître détendue, et frappa fermement à la lourde porte.